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Témoignages

La parole à ceux et celles qui font vivre l’enseignement au quotidien!
Découvrez des témoignages inspirants de stagiaires et de superviseurs qui partagent leur expérience au sein de notre organisation. Qu’il s’agisse de défis relevés, de belles réussites ou d’apprentissages marquants, ces récits reflètent toute la richesse et l’importance de l’encadrement en milieu de stage.
Ces témoignages mettent en lumière l’engagement, l’accompagnement et la passion qui contribuent à former la relève dans le réseau de la santé et des services sociaux.
✨ Bonne lecture!
Témoignages de stagiaires

«J’ai parcouru le cheminement DEC-BAC et fait mes études universitaires à l’UdeS et mon stage en soins communautaire a été avec l’infirmier de liaison en chirurgie bariatrique. Ce que j’ai appris en stage, c'est d'accompagner les patients dans leur processus qui peut être long et complexe. J’ai également pu observer le travail interdisciplinaire entre différents professionnels de la santé.
Je travaille actuellement à l’urgence de l’Hôpital Pierre-Boucher depuis maintenant plus de trois ans où j’ai également fait mon CEPI. J’ai décidé de rester dans ce milieu de travail après avoir fait mon CEPI puisque c’est un endroit pour le travail qui bouge énormément. Ce que j’aime le plus est le travail d’équipe qui est toujours présent. C’est un milieu proactif, très stimulant et gratifiant à y travailler en tant qu’infirmière et qui nous procure une certaine autonomie dans la gestion des patients et de nos dossiers.»
- Daphné Boisjoli, Infirmière à l'urgence de l'Hôpital Pierre-Boucher

«J’ai effectué mon stage au 8e étage à l’Hôpital Honoré-Mercier lors d'une de mes sessions. En dépit du stress constaté sur le plancher lié au contexte de la pandémie et du manque de personnel, j’ai été ébahi de voir les personnes travailler avec dévouement et abnégation, le tout avec le sourire. À cet instant, j’ai compris que je ne m’étais pas trompé de vocation. Ce stage m’a apporté énormément de bienfaits : la rigueur, le travail de collaboration, l’importance de la communication, la maîtrise des connaissances et l’humanisation des soins. C’était également l’occasion pour moi de connaître la routine d’un infirmier dans son quotidien. Mes expériences de préposé et celles acquises pendant ce stage m’ont permis d’être plus décontracté lors de mon externat.»
- Samouka Kourouma, Étudiant en sciences infirmières au Cégep de Saint-Hyacinthe

«Je travaille au CHSLD René-Lévesque depuis mes débuts comme préposée aux bénéficiaires. Je viens d'être diplômée du Cégep Édouard-Montpetit à Longueuil après trois années de Technique en soins infirmiers. Durant mon parcours, j’ai eu la chance de faire des stages enrichissants dans le secteur de la Montérégie-Est, dont un qui m’a donné la piqure pour la gériatrie au CHSLD Mgr-Coderre. Le personnel et les patients étaient très accueillants et nous avions beaucoup de soutien ainsi que d’encouragement. Ce stage m’a grandement aidé à cheminer et évoluer comme étudiante infirmière et m’a permis de développer une certaine autonomie pour me rendre sur le marché du travail, peu de temps après. J’ai appris énormément au niveau des pathologies, des relations humaines et du travail d’équipe. Grâce à ce stage, j’ai trouvé ma voie comme future infirmière et j’en serai toujours reconnaissante.»
- Élizabeth Bolduc, CEPI à l'Hôpital Pierre-Boucher
Témoignages de superviseures

« Je m’appelle Félixia, je suis infirmière clinicienne depuis bientôt 12 ans et je pratique en GMF depuis 9 ans déjà!
J'ai fait un microprogramme de 2e cycle en pédagogie des sciences de la santé à l’Université de Sherbrooke à la suite de mon baccalauréat en science de la santé puisque j'ai toujours eu un faible pour l'enseignement.
Être superviseure de stage vient donc combler mes besoins en enseignement et en plus ça me permet de requestionner/améliorer ma pratique, de revoir certains concepts acquis ainsi que d'apprendre par le vécu et l'expérience de mes stagiaires. Bref, du beau bonheur!
Être superviseure de stages me permet de redonner au suivant, car j'ai vécu de magnifiques expériences de stages. »
- Félixia Jaunasse, infirmière clinicienne au GMF Fusion

Si elle a choisi de devenir superviseure, c’est « parce que je suis passionnée de mon métier et que j’adore contribuer au bien-être et au perfectionnement de futurs psychologues dans ce métier complexe. Ce métier nécessite un grand investissement de soi-même et une spécialisation dans la compréhension des enjeux cachés qui expliquent les comportements de surface et les besoins psychiques sous-jacents. Ces dernières années, mon autre moteur a été de favoriser l'intérêt de travailler auprès de la clientèle très attachante et souffrante des enfants et adolescents signalés à la DPJ ou par la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents (LSJPA) chez les universitaires en formation. Cela permettra ainsi de permettre le recrutement des jeunes psychologues au sein des services psychologues publics. C’est l'endroit où notre apport est pour moi des plus précieux en ce temps de pénurie de main-d'oeuvre et de besoins psychologiques criants au sein de la société. »
- Annie Pelletier, psychologue en Protection de la jeunesse

Si elle a choisi de devenir superviseure, c'est parce qu'elle a eu deux stages en Protection de la jeunesse : un comme éducatrice et un comme intervenante au psychosocial. Elle a eu la chance d'avoir des superviseures investies, disponibles et bienveillantes. « J'ai voulu donner à mon tour! J'ai toujours aimé partager mon expérience et je crois que lorsque nous sommes superviseur(e)s, nous recevons autant que nous donnons. C'est-à-dire que les étudiant(e)s nous transmettent de l'information plus à jour que ce qu'on a appris à l'école et ça nous permet de nous remettre en question. Lorsque je peux montrer mon emploi à des stagiaires et les accompagner, cela me permet de conserver une rigueur dans les bonnes pratiques à mettre en place auprès des usagers. Je trouve gratifiant de voir mes superviseures qui sont devenues mes collègues, et mes collègues qui ont déjà été mes stagiaires. »
- Patricia Saint-Pierre, criminologue et coordonnatrice professionnelle en évaluation-orientation

Selon Cindy, son rôle de superviseure de stage pour les IPSPL facilite la transition entre la formation universitaire et la pratique en milieu clinique. Le rôle de superviseur(e), c’est aussi agir à titre de modèle de rôle, de guide pour les étudiant(e)s. Elle doit permettre à l'étudiante d'appliquer les connaissances apprises, d'aiguiser son jugement clinique par une approche réflexive pour favoriser le développement de compétences, le tout dans un climat humain et stimulant. « D'un point de vue personnel, superviser un stage c'est un cadeau pour soi. Il s'agit là d'une occasion pour nous aussi d'apprendre, de renforcir des connaissances et de prendre le temps de se requestionner sur notre pratique. »
- Cindy Beaudin, infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL)

Si elle a décidé de devenir superviseure, c'est parce que durant son parcours universitaire, il y a eu une grande pénurie de superviseur(e)s dans les milieux de stage. « Notre responsable des stages nous avait fait jurer solennellement de devenir superviseur(e) un an après notre diplomation. Cette promesse était restée en moi et, dès que j'ai eu le sentiment de bien connaître mon milieu de travail, j'ai pris une première stagiaire en cosupervision. Je crois avoir fait le saut principalement parce que j'aime partager ma passion pour l'ergothérapie, particulièrement pour la prise en charge de la clientèle âgée. La personne âgée est rarement une clientèle vers laquelle elles et ils rêvent de travailler. Je leur fais donc découvrir le plaisir de s'intéresser à l'histoire de l'autre et de s'ouvrir à leur parcours souvent surprenant. Beaucoup des stagiaires que j'ai pu soutenir de près ou de loin m'ont rapporté avoir découvert tout un pan de l'ergothérapie jusqu'alors insoupçonné. »
- Myriam Dansereau, ergothérapeute à la Direction du programme de soutien à l'autonomie des
personnes âgées (SAPA)